Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem
il y a 9 ans
Vivre en tant que mari soumis avec une femme dominatrice est un jeu du chat et de la souris permanent. À chaque instant je dois être attentif pour essayer de regagner ne serait-ce qu’un peu de contrôle sur la situation. À chaque fois que je baisse ma garde, et je ne peux que m’en prendre à moi-même pour cela, elle en profite pour me mettre un coup. En y repensant cela doit être épuisant pour elle aussi, elle doit être attentive pour ne rien laisser passer. C’est un genre de relation très exigeant pour les deux partenaires.
J’aurais dû voir venir le piège, pour avoir dit que le strapon était le summum de l’horreur elle m’avait fait vivre une expérience désagréable bien qu’enrichissante. Pour avoir dit que cette expérience était le maximum j’allais recevoir la même peine, elle allait me montrer les cartes qu’elle avait encore dans son jeu. Pourquoi avais-je été bête au point de faire en chaîne la même erreur deux fois ? Parfois les raisons qu’elle invoque pour me punir relèvent davantage du subterfuge, je ne dis rien j’aime quand elle me punit, c’est un jeu de dupe. Cette fois-là je me sentais réellement idiot, j’aurais dû le voir venir.
Elle s’est levée pour aller prendre du matériel. En tout moment j’essaye d’être positif, parfois c’est difficile, le peu auquel je pouvais me rattacher à ce moment était qu’au moins j’allais savoir ce qu’elle allait me faire immédiatement, je n’allais pas attendre toute la journée.
Elle a posé des liens sur le lit.
— Je prends des précautions. Pour la suite tu ne vas pas pour t’empêcher de gigoter comme le misérable asticot que tu es. Tu vas vouloir lutter contre ce que tu mérites. Je sais ce que tu penses « c’est un comportement honteux de fuir la justice » mais nous savons tout deux que tu es un minable et que ça serait bien ton genre.
Elle s’attendait que je la rejoigne sur ce point, que je lui dise que j’étais un minable. J’avais autre chose en tête.
— Qu’est-ce que tu vas faire ?
Elle a ricané.
— Je vais te faire hurler mon gros bébé.
Je la regardais, inquiet. La perte de la liberté de mouvement implique une profonde confiance en l’autre, c’est une question qui arrive f o r c é ment « est-ce que je me laisse attacher ? Sachant qu’il n’y a pas de retour possible, une fois à sa merci ça sera trop tard pour me débattre ». C’est comme faire face au noir, perdre la capacité de bouger est une peur primitive. Ce n’était pas elle qui me faisait peur mais faire face à l’inconnu. Elle jouait avec mes nerfs, la situation m’échappait et j’avais peur de ne pas être capable de tenir mon rôle. Elle m’a dit quelques mots pour m’aider à me calmer.
— Je vais bien m’occuper de toi ne t’inquiètes pas.
Ce qui m’inquiétait c’était surtout sa définition des « bons traitements ». Avec elle je m’attends toujours au pire, elle m’a amené tellement loin du point de départ.
Une fois qu’elle a eu finie elle a testé la solidité de l’ensemble puis s’est mise à cheval sur mon torse, elle allait pouvoir m’utiliser comme elle le voulait.
— Tu as l’air bien calme, l’information n’est pas encore montée au cerveau ? Ha pardon c’est vrai j’oubliais tu es un homme tu n’en as pas.
Elle s’est penché contre moi pour me murmurer à l’oreille.
— Je vais te faire souffrir fais-moi confiance. Après ça j’aurais un petit toutou docile à ma disposition. Tu n’as pas idée des dégradations que tu seras prêt à accepter pour ne plus jamais revivre ça.
Elle joue à ce jeu souvent, exagérer la situation pour que j’ai peur. J’ai beau savoir qu’elle en rajoute c’est efficace sur ma tension. Elle s’est penchée pour attr a p e r quelque chose sur la table de chevet, j’avais ses seins contre le visage. J’avais envie de les embrasser, ne me retenant que par crainte que ça n’arrange pas mon affaire. Ce contact m’a déstabilisé et j’ai mis du temps à réagir à ce qu’elle avait pris. Mon corps a été parcouru de frissons quand j’ai compris qu’elle avait ma clé à la main. Alors que j’étais tétanisé elle l’a déverrouillée. Immédiatement ma queue s’est dressée, ma respiration était rapide, j’essayais de refouler ce que je voyais venir. Elle a décalotté mon prépuce pour exposer mon gland. Elle lui a mis une pichenette en ricanant.
Elle n’avait pas besoin de me faire un dessin, elle allait me faire subir du tease and denial. Effectivement j’allais me débattre et effectivement j’allais hurler. Il y avait donc bien pire qu’être exclu de l’orgasme, il y avait l’interruption. Elle allait me faire monter et me laisser en plan pour me prouver que je n’étais rien face à elle. Alors que j’aurais été prêt à la supplier de me laisser avoir du plaisir il y a quelques minutes désormais je voulais juste qu’elle remette ma queue en cage et que j’aille faire la lessive.
Elle a attendu que je prenne conscience de la portée de ce qu’elle allait faire avant de continuer. Quand elle a bougé j’ai eu une poussée d’adrénaline, ça y était, j’allais y passer. Elle a tapé de l’index sur ma queue.
— Elle veut un orgasme ?
Lors du précédent jeu j’avais lutté pour ne pas la supplier, voyant arriver la tempête j’allais immédiatement abandonner cette lutte inutile.
— Oui pitié.
— À quel point ?
— Plus que tout.
— Depuis combien de temps elle n’en a pas connu ?
— Longtemps.
— Alors tu ferais mieux de me parler plus poliment.
— Oui maitresse.
C’est rare que je m’adresse à elle de cette façon, je lui parle respectueusement mais pas au point d’utiliser des « tournures inhabituelles ».
— Ça fait combien de temps que moi je n’ai eu d’orgasme rappelle-moi ?
— Quelques minutes.
— Jaloux ?
— Toujours, jaloux de votre perfection maîtresse.
— Tu es fier de ta queue ?
J’ai desserré les dents pour répondre rapidement. J’essayais d’être au taquet pour ne pas aggraver ma situation.
— Non elle est minable !
— Ça tu peux le dire. Alors comme ça c’est elle qui est ton centre de réflexion ? C’est le symbole de ce que tu es ? Un abruti se dressant fièrement pour s’offrir au châtiment ? Tu vois comme elle est conne ? Toute contente d’être droite.
Elle n’avait pas tort, je n’aurais pas dû être autant excité par la promesse d’un plaisir interrompu.
— Pourquoi tu la laisses diriger ta vie ?
— Parce que je suis stupide comme elle.
Elle s’est rapproché de ma tête, me mettant son sexe au-dessus du visage.
— Ça c’est beau et intelligent !
J’ai hoché la tête pour acquiescer. Elle a baissé son bassin, j’ai tendu la langue par réflexe, avec un peu de chance si je la satisfaisais mon supplice ne durerait pas trop longtemps.
Elle ne m’a pas laissé faire.
— Tu vois ça te donne envie de lécher, ça a du pouvoir pas comme ton truc.
Elle a joué avec mes nerfs en descendant et remontant rapidement avant que j’ai eu la possibilité de la toucher. Après plusieurs fois elle s’est finalement laissée faire. Je me suis mise à lécher vigoureusement. Si je lui donnais un orgasme mes problèmes seraient réglés, c’était ce qu’elle voulait obtenir, peu importe c’était mon intérêt.
— Ça c’est un bon chien !
J’aurais dû m’attendre à ce qu’elle ne me laisse pas le temps de finir, j’avais tenté ma chance c’était déjà pas mal.
— Tu sais quoi ? J’ai décidé …..
Elle a tapé de nouveau de l’index sur mon gland. Je sentais ma queue était « chargée », je la sentais prête à partir et … rien. J’étais comme bloqué au milieu de la route, comme s’il y avait un bouchon et que je sentais la pression augmenter de l’autre côté.
— Elle est sensible ? Oh la pauvre chérie
Elle a soufflé dessus, j’ai eu comme un mouvement de départ puis il s’est arrêté net. Si mes mains n’avaient pas été attachées je me serais masturbé pour évacuer cette charge douloureuse.
Elle avait eu raison de m’entraver, se gémissait et me débattait autant que possible. Il n’y avait plus de dignité qui comptait, je devais accélérer la fin du jeu.
— Pitié chérie, je ferais ce que tu veux.
— Ce que je veux c’est te voir souffrir.
— Tout ce que tu veux.
— Qu’est-ce qu’elle mérite ?
— Etre traitée durement, je ne mérite que ça. Pitié puni moi.
— Oh ça oui elle est vilaine. Vilaine queue !
Elle lui a mis une gifle, une vraie, puis encore une de l’autre côté. Sur le moment la douleur m’avait soulagé, pendant un instant c’était comme si l’impact allait faire sauter le bouchon, il y avait eu une sorte de contraction qui m’avait fait penser à celle du départ d’un orgasme. Rapidement cependant l’envie était revenue, pire encore. J’aurais aimé rester figer au stade de la douleur.
— S’il te plait puni moi encore !
Les coups étaient douloureux mais ils étaient une échappatoire acceptable de mon point de vue. Candice ne s’est pas faite prier, elle aime quand je la supplie de me faire du mal. Plus elle tapait fort plus j’en redemandais. Après quelques minutes elle s’est lassée à mon grand désarroi.
— Je crois que je ne suis pas gentille au point de vouloir continuer. Je préfère passer à ….
Elle a attrapé une plume, son contact avec mon gland endolori a été horrible, un supplice indescriptible. Je me débattais autant que possible, j’ai bien cru que j’allais casser les montants du lit. Je pleurais, j’hurlais, plus rien ne comptait il fallait que j’évacue cette frustration. De son côté elle rigolait tant et plus.
— Prochain jeu. Tu préfères le martinet ou que je te caresse ?
J’ai répondu immédiatement, il n’y avait aucune hésitation possible.
— Pitié le martinet !
— Tu es sûr ? C’est agréable les caresses.
Elle a pris mon sexe en main pour commencer à me masturber. Entre deux S a n g lots j’ai répondu.
— Pas la privation d’orgasme s’il te plait ! Je serais sage. Passes-moi la queue au martinet s’il te plait.
J’alternais entre l’espoir idiot qu’elle me laisse aller jusqu’au bout et l’envie d’être puni pour être le plus loin possible de l’orgasme interdit. Ma queue me brûlait, comme pendant la période réfractaire après l’orgasme, c’était goutter à ce dont j’allais être privé. Un échantillon de ce que je ne pouvais pas me payer, la séparation n’en serait que plus dure.
Lorsqu’elle s’est arrêté j’ai été soulagé, le répit n’a été que de courte durée puisqu’elle a commencé à me chatouiller le sexe avec les lanières, elle les passait doucement. J’ai fermé les yeux pour essayer de regagner un peu de contrôle sur la situation, c’est le moment qu’elle a choisi pour donner le premier coup. Il est arrivé comme une délivrance, ma queue me brûlait donc j’allais être à l’abri du plaisir pendant un temps. Elle m’a crié dessus :
— C’est qui le faible ici !
En pleurnichant j’ai répondu.
— C’est moi, je suis minable, pitié.
Mes pleurs ont redoublé quand elle a arrêté de frapper, je savais que l’envie allait revenir. Elle a saisi ma queue à pleine main, c’était un mélange de chaleur des lanières, de douleur de la pression, de plaisir. Je ne savais plus où j’étais, j’avais la tête qui tournait et l’envie de vomir.
— Voilà ce qui arrive aux vilains chiens qui n’ont plus peur de leur maîtresse.
— J’ai peur de ma maîtresse.
— Maintenant oui.
Elle a mis sa tête au-dessus de la mienne, me mettant ses cheveux dans la figure.
— Tu es à moi ! Rien qu’à moi. Pour toujours.
Qu’est-ce qu’elle était belle à me dominer alors que je me sentais minable. Elle était le centre du monde, celle qui pouvait me libérer de mon tourment. J’aurais pu faire n’importe quoi pour la satisfaire.
— Tu as envie de me pénétrer ?
— Oui.
Elle s’est reculé, mettant son sexe contre le mien, en l’appuyant juste. Elle a fait quelques mouvements d’avant en arrière. J’ai senti mon plaisir monter puis elle s’est arrêté. Elle allait me rendre dingue.
— Qu’est-ce que tu penses ? Que rien ne peut être pire ? Ou tu as appris la leçon ?
J’ai essayé de rassembler le peu de conscience qu’il me restait pour donner la bonne réponse. Je n’allais pas me faire avoir une fois de plus.
— Ça peut toujours être pire.
Elle a rigolé.
— Ça par exemple.
Elle a mis ma queue à l’entrée de son vagin, je sentais couler son liquide le long de ma queue, elle était excitée par mon supplice.
— Ou ça.
Elle a commencé à me faire glisser en elle. Après avoir connu les pointes et les coups ma queue était devenue très sensible. A vrai dire je ne me rappelle plus trop de la suite, c’était trop fort pour mon cerveau puisse mémoriser.
Ce que j’aime chez elle c’est sa capacité à me surprendre, après m’avoir fait peur avec un dernier supplice elle m’avait autorisé l’orgasme. J’avais lutté contre le plaisir qui finalement c’est mis à m’envahir. C’était l’orgasme libérateur, c’était l’inattendu. Ma vision était brouillée par les larmes de bonheur. Je n’étais plus dans mon corps, je flottais à côté.
Je crois que sous l’émotion je me suis endormi juste après, c’était trop pour moi. Je me rappelle que nous avons refait l’amour après, plus tendrement, j’étais motivé pour lui montrer à quel point je l’aimais et qu’elle méritait toute mon attention. Il n’y a rien dans ce monde que je ne ferais pas pour elle. Pour ces quelques moments très intenses je suis prêt à subir toutes les t o r t u r e s, elle est le centre de mon univers. Le lendemain matin j’étais bien, satisfait, puis j’ai pris conscience que cet état d’apaisement n’allait pas durer. Que le sevrage après l’orgasme est difficile, d’ici 3 jours j’allais de nouveau être tendu. Peu importe ça valait la peine. Alors que j’allais me lever elle m’a dit :
— Chaton ?
— Oui.
— Je suis désolé.
— Pourquoi ?
— Pour t’avoir baisé au point que tu ne tiennes plus debout pendant 48 heures. Tu vas être une vraie carpette et c’est à cause de moi.
J’avais très bien compris le sous-entendu. Elle m’avait fait un cadeau je ne devais pas la chercher et me considérer en terrain conquis. J’allais passer le week-end à marcher par terre. Ce n’était pas injuste, je devais obéir en passant que ce que je faisais commencer à compter sur l’ardoise des points pour le prochain orgasme. De toute façon je ne méritais rien de plus que de regarder le sol, je me sentais honteux de la façon dont je m’étais comporté, j’avais hurlé pour avoir un orgasme, un comportement pitoyable mais tellement excitant.
Le soumis de Mlle Emilie
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